Lexie B. Waldorf || Sycho' Admin

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• IDENTITE DU SUSPECT

Nom :

Waldorf.

Prénom(s) :

Lexie, Brooklyn.

Noms de code :

Lex' mais selon la blondinette ça fait un peu trop "mec". Sinon : blondinette, choupinette, chérie, puce et tous les petits noms ridicules que peuvent vous donner vos proches !

Date de Naissance :

Le 24 Janvier 1987

Lieu de Naissance :

New York.

Nationalité :

Amércaine.

Adresse :

Lexington Avenue _ Appartement 2D

• PHOTOGRAPHIE DU SUSPECT

Taille :

1,58m. Paraît que tout ce qui est petit est mignon hein ?

Poids :

46 kg.

Couleur de cheveux :

Comme les blés !

Couleur des yeux :

Comme l'océan, ou le prdouit WC à vous de choisir xD

Style vestimentaire :

Je roule sur l'or alors pourquoi me priver ? Dior, Chanel, Louis Vuitton, Dolce & Gabbana. Voilà, entre autres, les marques que vous trouverez dans ma garde robe. Bien sûr ce ne sont que des pièces uniques et certaines ont même été faites sur mesure ! Etre la fille d'un chirurgien très réputé peu apporter quelques avantages vous ne trouvez pas ? Vous trouverez donc de sublimes robes de soirées, des tailleurs griffés pour les rendez vous importants mais également des tenues plus décontractés pour aller à l'Université comme des jeans Diesel et des tops Guicci. Pour les chaussures là aussi vous ne trouverez que de la haute marque. De la chaussure de sport aux escapins dorés en passants par des bottes cavalières en cuir véritables il y en a pour tous les goûts et les meilleurs bien sûr... Niveau bijoux là encore vous trouverez de tout et pour toutes les occasions : de petites boucles d'oreilles en argent pour les jours de cours, les parrures de diamants et autres pierres précieuses pour les grands soirs.

• PSYCHOLOGIE DU SUSPECT

Qualités :

Vous voulez vraiment me lancer sur ce sujet là ? Parce qu'en tant que membre de l'élite il va de soit que mes qualités sont nombreuses... Bien alors allons-y. Tout d'abord il est indéniable que je suis belle, je ne vois pas pourquoi je prétendrais le contraire. Lorsqu'on est belle il faut savoir le dire et l'assumer, c'est ce que je fais, et à merveille comme vous le constaterez ! Au niveau de mon caractère maintenant ? Il faut préciser que tous les membres de l'Elite ne sont pas des pestes même si il est évident que chacun possède en lui une part sombre d'égoïsme et de lâcheté. Je me qualifierai donc de gentille, du moins avec les personnes que j'apprécie les autre ne mérite pas ma gentillesse. Je suis attentive, à l'écoute des autres, parfois même de ces petits prolétaires sans envergure c'est vous dire comme je peux être généreuse ! Plutôt bornée je ne lâche pas facilement lorsque j'ai quelque chose en tete et croyez moi, dans le monde dans lequel on vit c'est un atout qui n'a pas de prix. Certains pourraient penser à la vue de ma couleur de cheveux que je ne suis qu'une bécasse sans cervelle. Faux ! Je pense être perspicace et vive d'esprit ce qui me permet de faire les études qui me plaise à savoir : le commerce international. Je pense que pour réussir dans cette voix il est indispensable de posséder deux choses. La première étant un carnet d'adresse bien fourni, ce que j'ai ! Et un charisme indéniable pour ne pas se laisser marcher sur les pied,s et ce côté aussi je suis gâtée donc je ne me fais aucun soucis quant à mon avenir.

Défauts :

Des défauts ? Kesako ? Désolé vous n'avez pas frappé à la bonne porte, on m'a toujours dit de transformer mes défauts en qualités et mes faiblesses en points forts. Je n'ai donc plus aucune tare à mon palmarès vous m'en excuserez... Bon ok juste entre nous il est vrai que certains point noirs persistent mais je ne perd pas l'espoir de les anihiler un jour ou l'autre ! Tout d'abord une chose qui bouffe mon quotidien et qui pourtant n'est connu de personne, ou presque, c'est bien mon grand manque de confiance en la nature humaine. Que voulez-vous, avec un père qui vous a battu pendant des années vous avez franchement du mal à voir la vie en rose et penser que tout le monde il est beau tout le monde il est gentil... Ce défaut de confiance est encore plus présent au contact des hommes vous aurez évidemment compris pourquoi... Je me vante donc d'être une fille totalement libérée qui ne s'attache à rien ni personne par pur snobisme et égoïsme mais au fond je sais que si je le fais c'est simplement par peur d'être blessée de nouveau. Il n'y a que très peu de personnes sur cette Terre à qui j'ai accordé ma confiance. On compte notament dans cette catégorie : ma mère de qui je suis toujours restée proche malgré nos différents et mes cinq meilleurs amis, ceux qui forment l'Elite. Parmi eux je citerai surtout Callista, ma meilleure amie, la seule à qui j'ai parlé, très brièvement du comportement d emon père et Noah mais là c'est une toute autre chose. Autant je lui ai accordé ma pleine confiance en tant qu'ami, autant dans notre couple il n'en va pas de même... Ah, je ne vous avais pas précisé que j'étais une fille extrêmement compliquée ? Et bien vous l'aurez compris désormais. Sinon, en vrac on peu citer des petits défauts, qui font tout mon charme cela va de soit, comme l'impatience, la susceptibilité et la rancune.

Aime :

Ce que j'aime ? Et bien déjà tout ce que les gens de ma classe sociale aime, à savoir : le luxe, la popularité, l'argent, la fête... Les devises propres à mon groupe ? "Baise la vie avant qu'elle ne te baise" ou encore "Sex, Drugs & Alcohol". Bref vous voyez le tableau. Mes goûts peuvent donc être résumés par : la mode, les boîtes de nuit, mon groupe d'amis, ma réputation de "garce enbourgeoisée". Evidemment on peut aborder ma vie sentimentale mais là il faut comprendre que c'est on ne peut plus compliqué. Ma relation avec Noah est une chose à laquelle je tiens énormément, je m'y rattache comme à une bouée de secours mais bien évidemment je ne l'avouera jamais à personne, pas même au concerné. Pour ma relation uniquement physique avec Nathan là c'est autre chose. Je ne m'envoie en l'air avec lui que pour me punir et pour éviter de trop m'attacher à Noah... Il va de soit que je me déteste de faire cela et de jouer avec les sentiments de personnes auxquelles je tiens mais c'est plus fort que moi, c'est comme si je ne m'accordais pas le droit au bonheur et à une vie "simple". Seulement, depuis quelques temps j'avoue songer serieusement à mettre un terme à cette relation avec ce jeune prolétaire. D'une part pour ne pas le faire souffrir et d'autre part parce que, malgré moi, je commence réellement à aimer ma relation avec Noah et je ne voudrait pas la mettre en péril pour une simple partie de jambes en l'air avec un autre pour lequel je n'éprouve aucun sentiment amoureux. Passé ma vie sentimentale nous pouvons parler de mes études. J'adore ce que je fais, d'ailleurs je ne conçois même pas d'étudier quelque chose que je n'aurais pas choisi. Le commerce internationale est une passion, comme certains aime le golf ou la cuisine moi j'aime le commerce, la vente. Evidemment je ne prédestine pas à devenir une petite vendeuse de supermarché mais bien PDG d'une grande entreprise de mode. Le luxe, toujours le luxe...

Déteste :

La première chose que je déteste, comme tout les riches de cette ville évidemment, ce sont les opportunistes. Ces hypocrites qui aimeraient profiter de vos richesses sans même y avoir été invité. Nous avons sué sang et eau pour obtenir ce que nous avons (bon ok, ce sont nos parents mais tout de même...), alors je ne vois pas pourquoi eux devraient récolter les fruits de NOTRE travail ! Dans le monde il y a des riches, il y a des pauvres et il faut s'y faire. Le monde ne changera pas du jour au lendemain alors prenez votre mal en patience mais ne venez pas m'emmerder avec vos problèmes de petits prolétaires sans envergure. Je ne supporte pas non plus les soldes ! Alors qu'habituellement mes boutiques préférées sont vides de toute personne, leur marchandise étant beaucoup trop cher pour les "simples mortels", durant les soldes elles se retrouvent bondées de personnes qui vont me piquer mes tenues préférées ! La plupart du temps en plus elles se contente de les admirer sachant très bien que même en solde elles n'ont pas les moyens de se les payer. J'évite donc de faire les boutiques durant ces periodes et si j'ai réellement besoin d'une robe ou autre vêtement je m'adresse directement aux créateurs afin d'obtenir dans les plus bref délais une tenue unique et sur mesure. Ah et évidemment j'allais oublié de vous dire la chose que je déteste le plus au monde : mon père. Parce que oui c'est une chose. Pas un être humain non, une chose, vil et sans conscience. Je n'ai même pas l'envie de vous en parler, il me donne tout simplement la nausée et je ne rêve que du jour où il disparaîtra de la surface de la Terre.

Ambitions :

Mon ambition première ? Ne jamais perdre le train de vie que je mène depuis ma naissance, et si je peux l'augmenter, tant mieux mais mon but ultime est de ne jamais sombrer dans la pauvreté et l'anonymat. Et osez me dire que ce n'est pas l'ambition première de tout le monde ? Je suis persuadée que chaque personne sur cette planète rêve d'être riche et populaire, même si certains se bornent à prétendre le contraire il ne fait aucun doute que la réussite sociale et professionnelle reste le but de toute personne résident sur Terre. Bien sûr pour garder ma vie actuelle il me faudra un statut professionnel élevé, ce que j'aurais en devenant le PDG d'une grande marque de mode cela va sans dire. Je posséderai un appartement dans toutes les capitales importantes du monde et je passerai mes nuits à faire la fête avec mes meilleurs amis ! La famille ? Pas avant une trentaine d'année, le temps de me poser et de monter en grade. Ensuite, pourquoi pas un ou deux bambins avec l'homme que j'aurais choisi d'aimer. Mais sur ce point j'émets tout de même des réserves. Je ne pense pas trouver un jour un homme en qui je puisse avoir assez confiance pour procréer avec lui. Je ne voudrais en aucun cas courir le risque qu'il batte mes enfants. Et puis j'ai vu beaucoup d'émissions disant que les enfants battus reporduisaient souvent le même schéma sur leurs propres enfants. Je n'aurais donc aucun enfant avant d'avoir suivi une bonne thérapie...

• BIOGRAPHIE DU SUSPECT

Histoire :

24 Décembre 1979.

Une jeune femme sort des vestiaires de l'hôpital, prête à rentrer chez elle pour réveillonner avec ses amis d'enfance. Mary Courtney Silverstein, infirmère New York Hospital se voit déjà assise à la grande table de ce restaurant chic de Manhattan avec ses amis, elle voit déjà les plats succulents défiler dans son assiette, le champagne couler à flot... Et oui, pas difficile d'imaginer un tel repas de luxe lorsque vous êtes la fille d'un des hommes les plus influents de la Grosse Pomme. Et bien évidemment vous vous imaginez tout de suite que la jeune femme est devenu un brillant médecin réputé dans tout le pays ? Pas de chance, la jeune femme n'ayant jamais vraiment aimé les études elle a décidé de devenir infirmière et se plait vraiment dans son métier. Elle aime être proche de ses patients et passer du temps, chose que ne peut que très rarement fair eun grand médecin.

Mais revenons à nous moutons. La jeune Mary s'apprêtait donc à quitter l'hôpital lorsque son bipeur se mit à vibrer. Un accident de la route venait de se produire et on amenait un homme gravement blessé. Malheureusement pour Mary il lui restait deux minutes de service, elle ne pouvait donc pas ignorer cet appel et se mit donc à courir dans les couloirs de l'hôpital pour rejoindre le centre des urgences. Avisant le brancard qui venait d'être introduit dans le hall elle cru s'étouffer. L'homme qui gisait dessus avec du sang coulant sur son visage n'était autre que Calvin Ernest Waldorf, un des chirurgiens esthétiques de la ville, très réputé dans le monde hospitalier et dans tout le reste de la ville. Elle l'avait déjà croisé à plusieurs reprises dans des coloques et autres conférences et l'avait trouvé charismatique et terriblement séduisant. Le fixant sans bouger elle était comme paralysée par la peur. Si elle ne faisait qu'une seule petite erreur en le soignant elle savait qu'il avait le pouvoir de réduire sa carrière et même sa vie toute entière en miettes... Heureusement pour la jeune femme tout se passa bien, et même encore puisqu'au fil des jours, durant la convalécance de Calvin les deux jeunes gens se rapprochèrent et finirent par décider de sortir ensemble une fois le chirurgien remis sur pied.

Il s'en suivit 5 ans de pur bonheur durant lesquels Calvin et Mary apprirent à se connaître et à s'aimer et ce malgré les pestements du père de Calvin qui ne trouvait pas "normal" qu'un homme du rang de son fils fréquente une simple infirmière, même si elle était la fille d'un homme riche et puissant. Calvin n'était, à cette époque, pas encore de nature violente, bien au contraire il débordait d'attention et d'affection pour la femme qu'il aimait et en vint même à lui demander sa main lors d'un dîner romantique en plein coeur de Central Park. Bien sûr la jeune femme accepta et quelques mois plus tard fut célébrer dans ce même parc l'un des plus beaux mariages qui aient eu lieu à New York.

Puis vint le temps des interrogations. Les enfants ? Calvin en voulait oui mais seulement un fils. Malheureusement pour lui, Mary donna naissance le 24 Janvier 1987 à une magnifique petite blonde aux immenses yeux bleus. Impossible de résister à un tel ange venu du Ciel déclarèrent les proches de la famille. Impossible ? Pas si sûr que ça puisque mon père de ne paru pas affecté par la venue au monde de sa fille. Durant toute mon enfance je fut choyée par ma mère et rejetée par mon père. Je m'y étais faite allant même jusqu'à concevoir que mon père puisse m'en vouloir de ne pas être un garçon. Rendez vous compte de la torture que c'est pour une gamine de se dire que son père ne l'aime pas parce qu'elle n'est pas "du bon sexe". Remarquez cela m'a permis de me forger un caractère fort et de bâtir cette muraille impénétrable autour de mon coeur. Je n'appelait jamais mon père "papa". Pourquoi ? Parce qu'il ne ne le voulait pas. Cruel n'est-il pas ? Ma mère faisait son possible pour me donner tout l'amour dont une petite fille avait besoin mais ne parvint jamais à guerir cette blessure qui s'agrandissait à mesure que mon père m'ignorait...

Puis vint ce magnifique jour, probablement le plus important de ma vie, celui où je rencontrais Callista Dakota Andrews. C'était en septembre, la rentrée des classes. Mes parents avaient évidemment choisi la meilleure école privée de la ville pour que je puisse m'épanouir et me cultiver parmi des enfants de la même classe sociale que moi. Me retrouvant assise au fond de la classe à côté de Callista je dois avouer qu'au début je ne fut pas spécialement attirée par son caractère de cochon. Puis au fil du jour nous avons fait connaissance et j'ai découvert une fille formidable qui me ressemblait étrangement. Elle devint un peu comme ma soeur, ma seule famille. Je lui confiais tout et elle écoutait, sans me juger. Je passais des moments merveilleux en sa compagnie et ne voyait plus ma vie sans elle. Puis vint le tour de Noah. Noah Elian Spurs, un garçon de très bonne famille, l'un des plus populaires de notre école et peut être même le plus populaire. Beau comme un Dieu, dragueur invétéré il faisait fondre toute les filles. Pourtant c'est vers nous qu'il choisit de se tourner. probablement parce que, comme nous, il était désillusionné et n'avait qu'un seul besoin : celui de faire les 400 coups en se foutant de tout et de tout le monde. Et c'est exactement ce que nous fîmes tous les trois, bientôt rejoins par trois autres enfants de notre trempe. Il y avait Alexander Cody Brenton, le meilleur ami de Noah, il n'y en avait pas un pour ratrapper l'autre je vous le certifie... Puis vinrent Heily Rose Pearl et Sixtine Heather Applegate. La première était une véritable peste, l'une de ces filles contre lesquelles vous ne pouvez rien et qui réduirait votre vie en un véritable enfer si vous osiez vous attaquer à elle ou ses proches, tout d'abord hésitante je fus finalement séduite par cette petite boule de nerf qui entra naturellement notre petit groupe. La deuxième quant à elle est un peu le petit ange de la bande, arrivée plus tardivement elle s'ets pourtant intégrée rapidement jusqu'à devenir la quatrième roue du carosse féminin ! Et voilà, le clan était au complet. Nous étions prêt à faire les 400 coups quitte à rendre totalement dingues nos parents.

Les années qui suivirent restent gravées dans ma mémoire. Je passais le plus clair de mon temps avec mes amis n'ayant cure du mal que nous faisions aux autres et m'amusant comme une folle dans les soirées organisées dans les plus grandes boîtes de la ville. Mon père n'avait pas encore commencer sa chute vers les enfers et même s'il ne portait toujours pas dans son coeur il me laissait en paix et me fournissait tout ec dont j'avais besoin. Mais ce temps de paix ne dura pas éternellement malheureusement.

Ce fut après une opération ratée et un procès qui lui coûta des millions que mon père commença à me battre. Au début ce n'était rien de très méchant. Juste une petite claque de temps à autre lorsqu'il avait trop bu et que j'avais fait une bêtise. Puis ce devint une habitude. Il était saôule à longueur de temps et tout devenait prétexte à mettre une rouste. Bien évidemment personne n'était au courant. Je cachais mes bleus sous une épaisse couche de fond de teint et si jamais mes amis le remarquaient je mentais en prétextant une mauvaise chute à l'équitation. La petite bande continuait d'évoluer sans se préoccuper du monde exterieur. Je commençais à flirter avec Noah sans vraiment prendre ça au serieux. Je n'étais pas vraiment du genre à m'attacher en quelque sjours et à tomber raide dingue amoureuse d'un garçon au premier regard. J'appréciait Noah et nous profitions de nos petits moments pour nous détendre, rien de plus rien de moins. Durant plusieurs semaines je le sentis différent et passais énormément de temps avec lui, j'avais perçu comme un devoir d'être là pour lui, sans même connaître la cause de son malêtre. Cette periode nous rapprocha énormément et nous avons finit par former un couple. Bien évidement pas un de ces couples ordinaires qui peuplent les rues mais un duo de choc comme seul Lexie et Noah pouvait le former.

Désormais je sais que rester avec lui me conduirait forcément à m'attacher et c'est une chose qui m'était inconcevable. Je ne peux pas lui faire confiance. Le seul homme présent dans ma vie avant lui a toujous été un monstre à mes yeux et je ne vois pas comment il peut en être autrement avec Noah. J'ai donc décidé de m'éloigner un peu de lui en menant, en parallèle, une relation simplement physique avec un garçon que j'ai rencontré dans un bar. Un prolétaire certes, mais terriblement sexy... Noah est-il au courant ? Je ne lui ai pas dit clairement mais il me connait assez pour s'en douter. Pourtant ces derniers jours je me surprend à penser de plus en plus souvent à lui. Pas Nathan non mais bien à Noah. J'en viendrais même à m'en vouloir de le trahir de la sorte. Après tout il faudra bien que je fasse confiance à un homme un jour ou l'autre alors pourquoi pas aujourd'hui et avec lui ?

Ah et j'allais presqu'en oublier un épisode assez important de ma petite vie de fille riche. Il y a quelques semaines de cela alors que toute la petite bande rentrait d'une soirée beaucoup trop arrosée nous avons renversé une personne. C'était Noah qui conduisait et nous avons tout de suite compris que l'homme était mort. Ce que nous avons fait ? Rien. Nous nous sommes contenter de dissimuler toutes les preuves et de nous enfuir au plus vite. Nous sommes intouchables et nous le savons alors pourquoi s'inuiéter. J'avoue que parfois je pense à cet accident et à la famille du défunt mais ça ne dure rarement plus de quelques secondes...

Evènement marquant :

Vous voulez vraiment que je vous raconte ce jour où j'ai quitté le domicile familial après une énième dispute avec mon père ? Très bien alors allons-y...

C'était un beau matin de juin il y a trois ans, faites le calcul j'avais donc 17 ans. J'avais passé la nuit dehors à faire la fête avec ma petite bande préférée comme à mon habitude et n'étais donc rentrée chez moi que sur les coups de sept ou huit heure du matin. Toujours un peu alcoolisée j'avais fait mon possible pour entrer en toute discretion dans le luxueux appartement que nous habitions avec mes parents en plein centre de Manhattan. Malheureusement pour moi mon père était déjà debout et en plus il avait dû vider une demi bouteille de wisky, son alcool de prédilection. Sachant très bien ce qui m'attendais j'essayais veinement d'esquiver la confrontation avec un "B'jour Papa, je suis crevée je vais me coucher !". Bien évidemment, et comme je l'avais présagé, cette technique echoua et mon père se rua sur moi le visage rouge et les yeux qui lançaient des éclairs. Aussitôt son bras se leva et en une fraction de seconde je me retrouvais projettée à terre la joue brulante et des larmes de rage aux bords des yeux.

"Je t'ai toujours dit de prévenir lorsque tu ne rentrais pas de la nuit !"

Et c'était vrai. Seulement dans la précipitation j'avais totalement oublié d'envoyer un texto à ses parents pour les prévenir que je ne dormirais pas à l'appartement. Un père normal aurait simplement fait la leçon à sa fille et l'aurait privé de sortie pendant quelques jours mais Calvin Ernest Waldorf n'était pas un père normal, surtout lorsqu'il avait bu autant... Je me suis donc relevé péniblement en priant pour que ma mère arrive. C'était la seule qui avait un contrôle sur mon père. Elle aussi devait subir ses foudres plusieurs fois par semaine mais bizarrement elle était aussi capable de l'arrêter lorsqu'il allait trop loin. Mais ma mère n'était pas là. Cette constatation mavait emplie d'une terreur intense. Je savais pertinnement que sans elle mon père n'allait pas s'arrêter à une gifle, si puissante soit-elle. Il fallait donc que je réagisse. Et lorsque je vis le poing de mon père se diriger vers mon nez je n'eu pas le temps d'esquiver. Mon nez émit un craquement horrible et le sang se mis à couler jusqu'à ma bouche. Ce goût métallique ne me quitta plus...

Il ne me fallu que quelques minutes pour faire ma valise. J'avais un petit studio à quelques rues de là et décidait de m'y refugier pour quelques jours. J'écrivis une longue lettre à ma mère pour m'excuser et pour lui apprendre mon départ, définitif cette fois-ci, de l'appartement. Je ne vis pas mes amis pendant plusieurs semaines, le temps que les blessures s'estompent d'elles-mêmes. J'achetais un appartement sur Lexinghton Avenue dans lequel j'habite toujours.

Voilà un évènement qui marqua ma vie, très pronfondément...

• JUSTE ENTRE NOUS

Vous croyez-vous bon ?

Toujours aussi dure cette question... Je dirais 14/20.

Votre avis sur cette salle d'interrogatoire ?

I Love It [Oui oui comme Ronald de chez McDonald's xD]

Comment en êtes-vous arrivé à vous trouver ici ?

Par la sympathique fondatrice du forum en personne !

Pensez vous nous rendre visite assez souvent ?

Je ferai de mon mieux ! Tous les week end et toutes les vacances scolaires. Et ptet dans la semaine mais ce sera rare.

Mais qui vous couvre ?

Ma chouchoute à moi : Kristen Bell <3

Ah et n'oubliez pas la clef si vous voulez sortir de votre cellule :

Pas besoin j'ai assez d'argent et d'influence pour sortir d'ici quand je veux et comme je veux.

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