Damian DeLatour

• IDENTITE DU SUSPECT

Nom :

DeLatour

Prénom(s) :

Damian - Jonas - Lilian

Noms de code :

Damian n'aime pas vraiment les surnoms, surtout venant de la part de personnes qu'il n'estime guère, ne voyez pas là une marque de snobisme, il n'en est rien, c'est juste qu'il n'aime pas particulièrement les familiarités. Toutefois, il ne peut échapper à l'éternel "frenchie".

Date de Naissance :

26/07/1986

Lieu de Naissance :

Lyon - France

Nationalité :

Français, Damian a débarqué il y a dix ans aux Etats-Unis pour suivre son père qui rêvait de gloire dans le pays ou tout est possible

Adresse :

• PHOTOGRAPHIE DU SUSPECT

Taille :

1m82

Poids :

78 kilos

Couleur de cheveux :

Noir de jais

Couleur des yeux :

Bleu-Gris

Style vestimentaire :

Bien que l'entreprise de son père commence à se faire connaître sur le marché de l'import-export, la famille DeLatour est encore loin d'avoir les revenus de l'élite et bien que Damian aimerais pouvoir acheter sans compter, il est rapidement refroidi par les limites du compte bancaire de son père qui ne manque jamais de lui rappeler qu'ils ne roulent pas encore sur l'or. Difficile de ne pas se sentir à l'écart lorsque l'on aspire à intégrer un monde sans pouvoir s'identifier à eux ne serait-ce que par les vêtements, parce que dans ce monde là l'apparence est reine et sans elle inutile de penser la moindre seconde être invité dans les soirées chic de la haute société ou même d'être remarqué par ceux qui la font vivre. C'est pourquoi le français a dû s'adapter, les grands magasins de marque bradent souvent les articles comportant des vices de fabrication, vices parfois minime, quasiment invisible à l'oeil nu comme un défaut de couture sur le bouton d'une veste ou tout bêtement l'absence de ce même bouton. En clair des choses extrêmement facile à corriger du moment qu'on sait se servir d'un fil et d'une aiguille mais n'en demandons pas trop à nos jeunes amis de l'élite New-Yorkaise, tous juste bon à tenir une flute de champagne et à compter jusqu'à dix. Tout ça pour dire qu'entre les contrefaçons habillement réalisées et les vrais vêtements griffés mais rafistolés par ces soins Damian pourrait se fondre sans problème parmi l'élite. Du jean Diesel à la veste en cuir Armani en passant par la montre Suisse rien ne pourrait laisser croire qu'il n'est que le fils d'un simple commerciale français récemment reconvertit en chef d'entreprise.

• PSYCHOLOGIE DU SUSPECT

Qualités :

Damian - à l'image de son père - est un autodidacte de génie, lorsque l'on a ses ambitions mieux vaut l'être me direz vous. Élevé dans un milieu modeste, le jeune français à toujours voulu atteindre les hautes sphère et gouter un peu de ce vin qui semblait bien plus bon lorsqu'il était dégusté par un riche héritier, c'est pourquoi il s'est adonné très jeune à la musique et a su apprendre à jouer de la guitare seul, sans prendre un seul cour de sa vie. Devenir musicien lui semblait un bon moyen d'atteindre son but mais il n'avait pas cette passion qui animait les grands musiciens c'est pour ça qu'il abandonna très vite cette idée, sans pour autant se défaire de sa guitare. Doté d'une grande intelligence et d'un très bon sens de l'observation Damian s'est mis en tête d'intégrer l'élite en ce faisant passer pour un des leurs, par simple mimétisme d'abord il s'habillait comme eux, adoptait leurs comportements, certaines de leurs expressions et habitudes. Tout à fait capable de s'adapter à toutes situations et de toujours retomber sur ces pattes grâce à son sens de la répartie et à son charisme particulier le jeune homme ne s'est encore jamais fait prendre comme étant un intrus au milieu de la crème de la société New-Yorkaise.

Défauts :

On ne se change pas du tout au tout sans en garder des traces, en effet, à trop vouloir paraître différent, plus riche, plus charismatique, plus digne d'intérêt qu'il ne l'était en réalité Damian en est devenu manipulateur, limite effrayant lorsque vous vous rendez compte de son petit jeu mais heureusement pour lui tous ces petits héritiers -qu'il méprise plus que tout au fond - se plaise à garder les yeux fermés alors pourquoi ne pas en profiter ? Pourquoi ne pas lancer une jolie rumeur d'homosexualité à propos du petit copain de X pour que celle-ci vous tombe dans les bras ? Pourquoi ne pas pousser ces petits bourgeois à dépenser leur argents pour vous payer des tournées alors que vous-même n'avez pas dépensé un seul dollar de la nuit ? Ce n'était qu'un jeu pour le français qui riait de la stupidité de ces jeunes en mal de sensation forte, toujours trop ivre ou trop occupé par la jolie blonde sous ecsta qui se trémoussait à leur côté pour voir qu'il leur faisait les poches sans aucun remord. Un pique-assiette, un profiteur, voilà comme beaucoup pourrait le percevoir, ce n'était pas totalement faux mais lui se refusait à des termes si péjoratif, il voyait plus tout ça comme un immense jeu terriblement excitant où il devait faire attention à chacune de ses paroles, à chacun de ses gestes pour ne pas commettre le faux pas qui mettrait fin à sa petite partie. Les sentiments des autres, il s'en foutait royalement, il n'entretenait que des relations purement superficielle avec ces jeunes, comment pourrait-il en être autrement alors qu'aucun d'entre eux ne le connaissait réellement ? Lui au contraire se faisait un plaisir de récolter un maximum d'information à leur sujet, mieux vaut bien connaître sa proie n'est-ce pas ? Au-delà de ça c'était sa curiosité maladive qui le poussait à toujours vouloir en savoir plus. Ooh ma pauvre ! Comme ça Y s'est écroulé ivre morte et à vomi partout sur ta robe à 3000$ ? Z s'est mis à sniffer ? Mais pourquoi ça ? Ah son père assume enfin son homosexualité... Il riait encore et encore, derrière les paillettes, les flûtes de champagnes qui s'entrechoquent et les voitures hors de prix leur vie était bien plus misérable que celle des prolétaire qu'ils aimaient tant critiquer.

Aime :

Ce que Damian aime par-dessus tout ? Plus que d'humilier un petit con de gosse de riche ? Plus que de coucher avec la petite amie que ce même gosse de riche ? Plus que de jouer de la guitare seul avec lui-même dans sa chambre ? Staylla... La jolie Staylla rouge de colère, la magnifique Staylla étendue lascivement, le corps engourdis par le sommeil, la désirable Staylla dont les courbes appelaient la main alors qu'elle se penchait sur son demi-frère assit pour lui asséner quelques paroles froides, la belle Staylla prenant l'air le matin à sa fenêtre, les yeux encore mi-clos. S'il l'aimait ? Le coeur du jeune français était encore bien trop froid pour s'apercevoir des sentiments qu'il lui portait mais une chose est sûre, il aimait le petit jeu auxquels tout deux jouaient. Je t'aime, moi non plus. Jamais il ne l'avait touché, il n'avait même jamais goûté à ses lèvres mais il adorait provoquer des situations ambigüe, se retrouver assez près d'elle pour sentir son parfum, pour voir sa peau frissonner lorsqu'il l'effleurait. Un jeu aussi pervers qu'excitant auquel la jeune femme prenait autant part que lui, elle le provoquait sans cesse avant de prendre son air de sainte-nitouche et de s'enfuir comme une vierge effarouché. Il rêvait de la mettre dans on lit et était intimement persuadé que cette envie était réciproque, c'est pourquoi il ne freinait pas ses ardeurs, bien au contraire.

Déteste :

Il faut avouer que voir que quelqu'un refuse d'entrer dans son petit jeu l'agace au plus haut point, bien sûr il est rare de voir quelqu'un lui résister mais lorsque ça arrive il ne prend pas ça comme une occasion d'user de ses talents de manipulateur mais plutôt comme une attaque personnelle qui le vexe profondément. A partir de là et comme un enfant blessé il n'aura de cesse de faire de la vie de sa cible un enfer, répandant de fausses rumeurs, lui mettant des bâtons dans les roues, il usera même d'une créativité presque machiavélique pour parvenir à enfoncer autant que possible celui ou celle qui lui aura fait l'affront de ne pas prendre ses mots comme paroles d'évangiles. De même Damian déteste les menteurs, en étant un lui-même il a apprit à les reconnaître, tous ces prolétaires tentant d'entrer dans la haute société, à vrai dire ce n'est pas tellement les prolétaire qu'il détestait mais plutôt leur maladresse. A chaque fois que l'un d'entre eux se faisait prendre comme un imposteur lui-même risquait d'être démasqué et s'il y a une chose qu'il ne voulait pas voir arriver, c'était bien la fin de son petit jeu d'autant plus si le faux pas n'était pas commit par lui mais par un tiers. Conscient de sa valeur, de son intelligence, le français ne supportait pas la médiocrité, il savait que s'il était démasqué il pourrait sans mal recommencer son petit manège dans une autre ville, voir même dans un autre pays mais il ne supporterait pas voir ses efforts réduits à néant comme ça.

Ambitions :

Actuellement il n'y a que deux choses qui réussissent à tirer Damian de son lit tous les matins. Premièrement, intégrer l'élite de la société New-Yorkaise tant et si bien qu'aucun des jeunes héritiers qui la compose ne se poserait jamais de question quant aux origines sociales du français. Deuxièmement il y avait Staylla, sa demi-soeur par alliance qui lui faisait un effet monstre, il la désirait autant qu'il détestait ses petites manies et surtout cette façon de le repousser comme si elle n'avait pas elle aussi envie de partager une nuit en sa compagnie.

• BIOGRAPHIE DU SUSPECT

Histoire :

Venir au monde en ayant l'impression d'avoir tué sa propre mère n'est pas vraiment ce qui aide un enfant à se développer normalement. Mais comment ne pas avoir ce sentiment lorsque votre père vous annonce le plus froidement du monde à même pas quatre ans que votre mère est morte d'une énorme hémorragie alors qu'elle vous donnait la vie et qu'en résumé sans vous elle serait en parfaite santé. Marc DeLatour n'était pas un mauvais homme, c'était même un bon père mais élever seul un enfant n'est pas toujours facile, il dû faire des sacrifices et mettre son envie de réussite professionnelle de côté pour être disponible pour son fils qui subissait parfois le résultat de la frustration de son père. Quoi qu'il en soit si ce dernier avait été honnête au sujet de Lily-Anne, sa femme, il aurait économisé énormément en frai de psychiatre en tout genre auquel Damian rendait visite toutes les semaines. Le garçonnet su marcher, parler, écrire et compter bien plus vite que ses camarades de classe mais il avait un sérieux problème relationnel, il n'arrivait tout simplement pas à communiquer avec qui que ce soit. Renfermé sur lui-même, parlant peu, quasiment autiste, Damian fit des frayeurs à son père pendant de longues années, jusqu'à son déménagement aux Etats-Unis ou son père ouvrit une entreprise d'import-export, bien que ne parlant pas couramment l'anglais il s'ouvrit soudainement aux autres.
En réalité le français n'eu jamais de relation saine avec qui que ce soit, d'apparence amicale, souriant, avenant il était déjà le rat profiteur qu'il est aujourd'hui, manipulant, jouant avec son entourage pour obtenir ce qu'il voulait. C'est ainsi qu'il connu les plaisirs de la chaire pour la première fois, cela faisait déjà de longues semaines qu'il observait et gagnait la confiance une jolie blondinette, Leanna, malheureusement déjà en couple. Mais il ne se faisait pas de soucis, son rival n'était pas vraiment un problème et c'était vrai, il s'en débarrassa très vite en le poussant dans les bras d'une autre. Le lendemain des photos de ses ébats avec sa maîtresse atterrirent 'par hasard' sous le nez de la jeune Leanna qui vint tout naturellement se consoler dans les bras de celui qui était devenu son meilleur ami, Damian. Cette anecdote résume parfaitement l'adolescence du frenchie, il ne faisait jamais de vagues, il n'hurlait et ne se battait jamais mais dans l'ombre c'est lui qui tirait les ficelles. En tout cas il aimait à le croire, touchant toujours au but il fini par se forger une très haute opinion de lui-même et c'est pourquoi il décida, il y a quelques temps de s'incruster parmi l'élite, parmi ceux qui décide de tout ici, à New-York. C'était un challenge pour lui, il n'avait jamais berné tant de personne à la fois et c'est bien ça qui rendait le jeu excitant, s'il arrivait à grimper en haut de l'échelle sociale en écrasant tous ceux qui y avait logiquement leur place alors il saurait que plus rien ne l'arrêterait plus. Qu'il pourrait arriver à tout en y mettant un peu de bonne volonté. Mais ce n'est pas pour tout de suite, Damian commençait juste à se faire des connaissances dans ce monde, à être invité à des soirées de temps à autre, mais il ne se faisait pas de soucis, il avait tout son temps et ciel l'avait bénie d'une patience d'ange.
Pour l'instant ce qui l'intéressait, ou plutôt l'obsédait c'était sa demi-soeur par alliance, son père s'était récemment marié avec une femme qui avait une fille, Damian en avait déjà entendu parler mais il ne l'avait encore jamais rencontré jusqu'à l'annonce officielle du mariage. Honnêtement il s'attendait à rencontrer une petite bourgeoise coincée mais il n'en était rien, Staylla était loin d'être coincée, en tout cas elle ne l'était pas quand ils étaient seuls tous les deux parce que oui, dès qu'une tiers personne entrait dans la pièce mademoiselle changeait soudain d'attitude. Mais qu'importe, elle finira bien par céder...

Evènement marquant :

Encore une fois sa curiosité maladive l'avait amené dans le bureau de Marc DeLatour - son père. Un endroit où il n'avait absolument pas le droit de mettre les pieds, c'est d'ailleurs pour cela qu'il crevait d'envie d'aller y faire un tour. Prétextant des nausées et une subite poussée de fièvre Damian avait pu rester chez lui sans éveiller les soupçons de son paternel qui partit très vite en direction de son travail sans se soucier de rien. Dix minutes après avoir entendu la porte d'entrée claquer, le voilà traversant l'appartement à toute allure pour s'engouffrer dans le fameux bureau. Refermant doucement les portes derrière lui il entreprit de fouiller consciencieusement chaque centimètre carré de la pièce. Quelques factures soigneusement rangée dans des pochettes cartonnées, deux ou trois rapports de comptabilité dans le tiroir de gauche, en clair rien d'intéressant. Il s'apprêtait à sortir de la pièce lorsque son attention fut retenu par un dossier plastifié dépassant d'une étagère, après tout il avait parcouru tous les papier de son père alors pourquoi pas ceux la ? S'attendant à tomber sur un énième rapport d'activité de l'entreprise familiale Damian ne pu retenir un haut de coeur en voyant plusieurs photos s''échapper du dossier, sur chacune d'elle figurait sa mère, sur la première elle sortait d'un café, sur la deuxième elle marchait en compagnie d'un homme sur une autre elle semblait rire avec une amie. Les plus récentes photos d'elle qu'il avait vu jusqu'à présent datait d'une vingtaine d'année, juste avant sa mort suposée mais les traits de son visage étaient encore parfaitement reconnaissable, Damian avait d'ailleurs hérité de son regard et de son sourire. Titubant sous le coup de l'émotion le jeune homme du s'asseoir pour entreprendre la lecture de ce dossier qui s'avérait être très intéressant, des dizaines de pages relataient des faits et gestes de la mère de Damian mais aussi des transferts d'argents. Bien sûr ce n'était pas écrit noir sur blanc mais il était facile de deviner que Marc tenait absolument à ce que mère et fils ne se rencontre jamais. Pourquoi ? Pourquoi mentir sur sa mort ? Pourquoi la tenir à l'écart ? Une chose était sûre, Damian n'en resterait pas là, il était bien déterminé à avoir les réponses à ses questions.

• JUSTE ENTRE NOUS

Vous croyez-vous bon ?

Rhoo je sais pas... 14/20 peut-être.

Votre avis sur cette salle d'interrogatoire ?

Une fenêtre par ici, deux-trois plantes verte par là et ça pourrait presque être accueillant

Comment en êtes-vous arrivé à vous trouver ici ?

Lexie a cédé à mon harcèlement moral et a fini par me donner l'adresse.

Pensez vous nous rendre visite assez souvent ?

5/7 plus ou moins mais je suis du genre super lent pour répondre donc bon.

Mais qui vous couvre ?

Gaspard Ulliel

Ah et n'oubliez pas la clef si vous voulez sortir de votre cellule :

Spoiler:

Très jolie fiche
Bienvenue chez les fous xD
Fiche validée !