Staylla J. Dennison || Such a softer sin... [UC]

• IDENTITE DU SUSPECT

Nom :

Dennison. Autrefois une référence dans l’Upper East Side grâce aux doigts de fée de son père, réputé chirurgien esthétique new-yorkais, ce nom s’efface peu à peu des mémoires, au grand damne de Staylla qui doit à présent subir les frasques d’un nom en presque déclin. Une chance tout de même qu’elle n’ait pas écopé du nom de son beau-père, s’appeler DeLatour… Autant épouser un frenchie sexy est tout à fait à la mode, autant hériter d’un tel handicap social ne l’est vraiment pas.

Prénom(s) :

Staylla Jynn. Des prénoms assez… originaux, admettons le. Fruit de l’inspiration débridée de parents un peu trop éméchés lors de leur réflexion nocturne peu après leurs fiançailles et ce qui n’était alors qu’une ébauche de prénoms est devenu bel et bien réel lorsque quelques années plus tard, une petite frimousse vint se joindre au couple Dennison. A présent, Staylla s’apparente à la grâce et à la douceur que peut symboliser un tel prénom, bien que la version la plus connue reste « Stella », ce qui a le don d’exaspérer la jolie demoiselle lorsqu’elle doit épeler son nom pour les idiots du village. Evidemment que Staylla s’écrit S-t-a-y-l-l-a, faut-il avoir fait des études supérieures pour le comprendre ? A croire que oui…
Son deuxième prénom fait souvent frémir son nez retroussé en une légère moue boudeuse. Jynn. Ca résonne beaucoup trop comme de l’alcool, ce qui est toujours la première pensée des alcooliques évidemment, soit énormément de New Yorkais qu’on se le dise. Pourtant bien qu’infligé à une demoiselle qui n’en voulait nullement, ses prénoms ne sont pas une source de honte pour la brunette, bien au contraire. Elle tend à les adorer puisque outre son caractère et son physique divin, ce sont eux qui la rendent unique, enfin il y a aussi sa famille…

Noms de code :

Staylla n’a pas vraiment de surnoms, son prénom étant assez court pour sembler à lui seul un diminutif. Le diminutif d’Estaylla alors ? Ahah. Petits naïfs. Sa famille a peut-être tous les torts du monde, oui avouez le qui a un père suffisamment stupide ou crédule pour liquider la presque totalité de son héritage à un vulgaire gourou emplumé ? Ou encore une mère qui n’attendit pas plus pour se remarier avec un pauvre type français qui avait auparavant l’honneur de partager sa couche de temps à autre et qui maintenant doit satisfaire son devoir conjugal très, très souvent ? Autant dire qu’aucun d’eux ne s’est pris la peine de lui refiler un prénom pareil et encore moins un surnom. Le seul qui s’y ose à ses risques et périls, n’est même pas un ami, encore moins quelqu’un dont elle apprécie la présence. Non, un être abject, insupportable avec sa belle gueule et son charmant accent français : son demi-frère. Ce dernier lui colle d’innombrables et ridicules petits surnoms qui ont le don de faire monter le rouge aux joues de la jeune femme et bien évidemment ce n’est jamais de gêne. Sinon, il y a aussi les plaisantins qui jouent sur son prénom, allant jusqu’à la surnommer « mon sucre étoilé ». Dites vous qu’un tel garçon n’est pas resté très longtemps. Le mielleux, ça n’a jamais été ses affaires, d’autant plus quand c’est susurré à votre oreille alors que la dite demoiselle était en train de s’intéresser à l’ouverture du jean du marshmallow boy. Autant dire, que quitte à s’aviser de la surnommer, il y a des limites à ne pas dépasser…

Date de Naissance :

16 Décembre 1987

Lieu de Naissance :

Brighton, Angleterre.

Nationalité :

Staylla possède une double nationalité. Bien que grâce à son père, elle soit américaine, ses origines anglaises lui tiennent toujours à cœur, c’est certainement pour cela qu’elle n’a jamais su se départir de son accent si… british.

Adresse :

Appartement D3, Madison Avenue, New York City.

• PHOTOGRAPHIE DU SUSPECT

Taille :

1m70. Ni trop grande, ni trop petite, parfaite en somme.

Poids :

53 kilos toute mouillée. Légère, peu être un peu trop, d’où sa silhouette longiligne et les nombreuses rumeurs sur sa prétendue anorexie…

Couleur de cheveux :

Châtains foncés, presque bruns. Au soleil, ils ont tendance à s’éclaircir, paraissant châtains clairs. Qu’à cela ne tienne, elle adore changer de look et plus c’est flagrant, plus ça lui plait mais sa couleur favorite reste les reflets châtains clairs naturels que lui prodigue le soleil.

Couleur des yeux :

D’un joli noisette avec une touche mordorée autour de l'iris.

Style vestimentaire :

Un air doux, presque un peu froid tant la mélancolie l’accable, ses yeux onyx si souvent brillants, son nez retroussé, la rudesse de ses pommettes un peu trop ciselées, la roseur de ses lèvres, le galbe doucereux de sa poitrine, les lignes épurées de courbes gracieuses. Tout en son physique refuse la mode, annihile toute griffe ou bien au contraire sublime un tissu on ne peut plus ordinaire. La soie glisse avec paresse sur sa peau alors que le denim lui, l’épouse merveilleusement bien. Tout est affaire de goût, d’envie, de confort et de bien-être. Et pourtant, là où il semblerait que son dressing soit minimaliste, il n’en est rien car le véritable luxe aux yeux de la miss Dennison, ce n’est pas d’avoir pléthore de vêtements griffés, non c’est tout simplement d’avoir le choix, de se pointer aux prémices du jour, encore en nuisette, d’allumer la lumière et de se planter devant ce nombre incalculable de vêtements pour se demander : qu’est-ce que j’ai envie de mettre aujourd’hui ? Hésiter un peu, farfouiller beaucoup et au final faire dans la simplicité, comme toujours. Considérer ces vêtements qui ne demandent qu’à être portés et n’en choisir que quelques uns, ignorants les autres jusqu’à la prochaine fois ou pour toujours. Certains ne sont mêmes là que pour être admirés, effleurés du doigt en attendant une occasion spéciale, une envie particulière, une humeur du matin un peu trop pressée. Alors on ne peut lui nier un style indéniable, qui n’est en aucun cas affaire de mode. Au fond, un rien l’habille… Que ça soit cette tenue décontractée composée d'un jean -slim ou pas-, d'un sweat-shirt ample et de ce teeshirt vintage, en passant par la simple nuisette en soie, le bikini deux-pièces absolument ravissant ou encore la dernière création d'Yves Saint-Laurent. Femme-enfant, ses choix vestimentaires reflétent agréablement son caractère, préférant le déshabillé. xD

• PSYCHOLOGIE DU SUSPECT

Qualités :

Staylla recevrait le bon Dieu sans confession parce qu’elle rayonne de pureté, d’abnégation et de gentillesse. Foutaises. Le sucre de ses sourires est factice et ne fait que dégouliner de miel mais surtout de fiel. Oh, elle n’est pourtant pas le diable personnifié non mais presque. Son habileté à dissimuler ses émotions en fait une redoutable adversaire pour le jeu pervers auquel son « demi-frère » et elle-même jouent, tout ça pour cacher les tréfonds d’une attirance sexuelle qui les dépasse amplement tous deux. Car leur but ultime, c’est bel et bien que l’un finisse dans le lit de l’autre, pas de compromis, pas de pourparlers et bien entendu, aucun sentiment, aucune attache ne doit s’établir et pourtant, la jeune femme n’a pu entraver sa sensibilité. Pourrie jusqu’au trognon par une jalouse rage vis-à-vis de son très cher paternel, il s’avère par le plus grand des hasards, que son cœur de verre s’émeuve pour Damian DeLatour, ce charmant connard qui partage sa vie depuis le remariage de leurs parents. Les romantiques s’exalteront pour cette histoire d’amour impossible mais Staylla en est loin. On ne peut plus réaliste, elle choisit la verve de la haine, brûlant à l’idée d’une violente vengeance, sublimant ce feu des reins en un torrent dévastateur. Elle n’avait rien d’une Phèdre voulant descendre aux Enfers à la suite d’un Hyppolyte, non, elle jurait sa perte à lui aussi puisqu’elle ne pouvait se sauver. Alors oui, cet instinct de survie qui régit ses actions est évidemment une qualité puisque regardez là, si magnifique et sans aucune cicatrice laissée par les égratignures causées par la vie, la vie et tout le reste…
Et au-delà de ce maelstrom d’émotions qui aveugle si souvent la pureté de son regard, la jeune femme ne peut s’empêcher d’être entourée. Bien que bon nombre de ses agissements aient un enjeu et une finalité qui leur sont propres, il lui arrive également d’avoir juste envie d’être entourée, ne sachant vivre seule ou tout du moins, guère longtemps. Alors oui, sa facilité à se lier et son aisance à interagir sont des précieux alliés dans cette jungle new yorkaise puisqu’ici savoir quoi dire à quel moment pour obtenir tel effet vaut réellement de l’or. Peut-être que ce don de Mère Nature suivra un destin peu avouable car qui se priverait de l’utilisation d’un cadeau du ciel ? Il y a certes beaucoup de personnes sur Terre dotée de charisme mais bien peu en sont conscientes et encore moins nombreuses sont celles sachant l’utiliser. Ce qui est le cas de la jeune femme qui en use et en abuse. Après tout, c’est maintenant qu’elle doit gaspiller sa jeunesse en flirts inutiles et alliances stratégiques, n’est-ce pas ? Sinon à quoi bon se faire un nom si toutes les occasions précédentes ont été gâchées et éradiquées à jamais de ses possibilités. Profiter de sa beauté et de sa jeunesse pour constituer un parfait carnet d’adresse n’a jamais été interdit en de nombreux états, contrairement aux pensées qui l’effleurent à la vue d’un charmant adonis.
Ce que l’on ne saurait également lui reprocher en faisant face à son joli minois alors qu’elle décroise lentement ses jambes, un sourire taquin aux lèvres alors qu’une délicieuse moue s’obstine à s’esquisser sur son visage, une main se perdant vers les boutons de sa chemise, la déboutonnant légèrement, ce serait son manque d’ambition. Staylla en a à revendre de l’ambition puisqu’elle compte redorer son nom de famille, trop vite jeté aux oubliettes par son illuminé de père alors il est tout à fait concevable qu’elle n’hésite pas à jouer la séduction vis-à-vis de chers fils à papa si vite troublés par sa présence et l’inconstance de ses attentions. Habituée à fréquenter des lits sans jamais y demeurer, son absence en est tout autant remarquable. D’autant qu’elle ne passe pas pour la catin de tout New York puisqu’elle ne divulgue pas sa vie privée sur tous les toits. Ephémère et volatile, elle couche, retrouvant dans d’autres bras, d’autres yeux, d’autres cheveux ou d’autres parfums, une touche de l’âme de Damian. Butée comme pas deux, elle fuit l’absence de ce dernier comme d’autres courent après la sienne. Ne jamais céder, ne jamais baisser les bras ou admettre sa défaite par peur de se faire avaler par le système élitiste. Elle veut ce qu’il y a de mieux et elle compte bien l’obtenir… A n’importe quel prix.

Défauts :

Et pourtant ce qui fait sa particularité, ce côté fonceur que rien n’ébranle, pas même courir à sa perte, peut tout aussi bien être l’un de ses pires défauts. Aveuglée par son désir, Staylla tâtonne à la recherche d’un bonheur illusoire, comme si… comme si c’était le principal. A trop fuir ses sentiments si étrangers à ce cœur essoufflé, la jeune femme se perd et s’oublie. Quelques fois considérée à tort comme une femme objet, elle n’en a que l’aspect cassé, brisé d’un pantin de bois trop souvent usé car elle joue, peu être un peu trop pour ce corps qui réclame la paix alors que son esprit n’attise que la violence verbale et corporelle. Le plaisir de la chair cesse peu à peu de la satisfaire mais sa fierté lui bande une fois de plus les yeux alors elle fait ce qu’elle fait le mieux, elle ment. Magnifique garce, les mensonges lui collent à la peau, une seconde nature pour elle qui s’efforce de ne pas quitter les lumineuses sphères des jeunes new yorkais pétés d’cash parce qu’à la seconde même où elle se trahirait, c’en serait fini de la doucereuse vie de luxe à laquelle elle avait été si longtemps habituée avant que son héritage ne s’évapore presque totalement. Ainsi, on pourrait lui reprocher d’être une menteuse chevronnée mais au moins, elle, elle ment bien et puis toute vérité n’est pas bonne à dire n’est-ce pas ?
Aussi étrange que cela puisse paraitre, sa tendance un tantinet manipulatrice se refuse à être la cible de crasses. C’est pourquoi, la jeune femme bénéficiant d’une excellente mémoire, est du genre à se montrer très rancunière. Faites le moindre faux pas et soyez assuré que cela vous poursuivra jusqu’à ce que vengeance soit faite et ce n’est pas parce qu’elle parait ne plus y songer que cela est vrai pour autant… Mais ce trait si particulier et si humain de sa personne, parmi tous ceux bien mieux placés est le seul à la ronger, à lui pourrir la vie et quelque soit ses efforts, elle ne peut s’en débarrasser. Cette rancune s’écoule dans le flot vermillon progressant à chaque battement de cœur et s’installe dans chaque parcelle de sa peau de porcelaine. Cela l’oblige d’autant plus à minimiser les rares relations privilégiées dans sa vie car accorder trop d’importance à quelqu’un, c’est à ses yeux prendre le risque que la rancune dévore tout, plaçant ses amis en haute estime. Non l’erreur est loin d’être humaine pour la jolie Staylla, enfin c’est juste l’excuse de la médiocrité des prolétaires ça…
Malheureusement, la jeune femme peut s’avérer également être l’archétype de la poufiasse froide et sans cœur mais seulement si vous la poussez à bout car rares sont ceux qui voient avec clarté le sarcasme et l’ironie dans ses propos. Tout n’est qu’apparences après tout en ce bas lieu… La vie n’est qu’un immense terrain de jeu où seuls les plus forts s’en sortent vainqueurs et ici comme ailleurs, pas de pitié pour les faibles. Il ne faut pas pour autant croire qu’elle ne fait que manipuler les gens et s’en moquer, cela serait la stéréotyper. Staylla est bel et bien capable des plus nobles émotions comme des pires vilenies, ça serait ça être humain ?

Aime :

Staylla aime tout et rien. Ce jeu des sens auquel son demi-frère par alliance et elle se vouent l’amuse, la captive au plus haut point, suffisamment tout du moins pour la détourner un tant soit peu des autres hommes qui s’effacent peu à peu, hors de son monde. Un monde où ils n’ont aucune place, trop… médiocres face au beau Damian. Il n’y a bien que les jeunes hommes de l’Elite qui suscitent un intérêt tout aussi grand, voire plus, que celui qu’elle voue au DeLatour. Evidemment, Damian a toutes qualités sauf la richesse… Ce qui ne saurait tarder vu l’ampleur que prennent peu à peu les affaires de son père. Quoi de plus normal ? Chez les Dennison, on n’épouse pas le premier venu… Ou tout du moins, il en fut ainsi jusqu’à Staylla. Changer les traditions ? Quelle idée. Elles sont très biens comme elles sont.
Elle aime la grande vie que mènent les membres de l’Elite, grande vie à laquelle elle s’était habituée avant qu’on ne la lui retire brusquement… Récemment sortie de sa deuxième cure de désintoxication, la jeune femme se remet tant bien que mal de son comportement d’acheteuse compulsive, subissant de fréquentes rechutes malgré une volonté de fer. Qu’est-ce qu’elle y peut si acheter c’est à la limite du jouissif ? C’est tellement indécent d’avoir de l’argent de ne pas le dépenser… alors elle finit toujours fauchée comme les blés puisqu’elle achète n’importe quoi sur le contrecoup d’une pulsion. Bien sûr, sur le coup, elle adore son achat mais bien vite elle s’en lasse et s’intéresse soudainement à autre chose, batifolant à toute vitesse, si seulement le compte en banque suivait aussi… La 5th avenue ? Son immense temple, sa religion, son saucisson, la crème de la crème, le beurre de cacahuète, le kama du sutra, sa coke, le sucre du coca, bref, si l’avenue était personnifiée, Staylla l’épouserait sur le champ, forcément… les plus beaux magasins, les splendides vitrines, tous ces articles qui lui hurlent, la supplient d’entrer dans la boutique et d’en ressortir avec, un bon paquet de dollars en moins. Si elle était croyante, elle dirait que Dieu bénisse la 5th avenue et l’American Express ->

Déteste :

S’il est une chose qui insupporte Staylla au plus haut point, c’est bel et bien son… salopard de père. Ce dernier qui était supposé lui donner tous les moyens pour survivre parmi les requins, lui a sucré tout son héritage. Encore cela resterait pour la bonne cause, mais non ! Ce crétin fini a tout balancé à la secte de tarés qu’il a choisi de rejoindre après avoir quitté son travail si prestigieux de chirurgien esthétique. Pauvre fou… Il va droit à sa perte en vivant comme un sauvage, comme un… comme un pauvre ! Rien que d’y penser, la jeune femme en a des frissons de dégoût. Plutôt mourir que de finir dans la misère après avoir connu le grand luxe. D’ailleurs ça a bien failli lui arriver quand son pire ennemi de triple imbécile de paternel lui a téléphoné, la suppliant de cesser ses enfantillages et de le rejoindre avec les autres ermites béats à longue barbe. Non merci. Qu’il attende le nouveau Jésus ou le prochain antéchrist c’était une chose mais qu’il l’oublie à la fin ! Elle s’en foutait bien de la religion, elle qui était née sous le culte du dollar… Gaspiller SON héritage est une chose.
Lui faire perdre son temps est la pire des erreurs, elle si peu patiente. Ou encore la tourner en dérision ou l’humilier. Ce n’est même franchement pas conseillé à moins d’espérer une mort lente, très lente et douloureuse. Se moquer d’elle, c’est porter atteinte à travers elle à son nom, à sa famille et à ses valeurs, ce à quoi elle tient certainement le plus, gonflée d’orgueil, alors cela n’est surement pas la chose la plus maline à faire…
Staylla ne comprend pas les gens qui refusent de jouer, ils lui feraient presque peur si elle n’était pas si agacée par leur comportement de sainte nitouche. Comportement qu’elle singe à la perfection lorsque quelqu’un pénètre dans une pièce où s’établissait auparavant un lourd sous-entendu avec Damian. Elle ne tient évidemment pas à ce que cela s’ébruite pour le moment, c’est en quelque sorte un terrible secret sous le couvert d’intentions cruelles. A qui souffrira le plus de la quasi perversité de l’autre…

Ambitions :

De l’ambition, Staylla en a à revendre. Surtout depuis que son pire ennemi, l’ultime cas social familial a flanqué aux pauvres son argent… La miss Dennison veut retrouver ses anciennes habitudes pouvoir dépenser sans restrictions mais pour ça, il faut mettre la main sur un gosse de riche et donc s’intégrer parfaitement au préalable à l’Elite. Cette envie de rejoindre ceux qu’elle considère comme les piliers de la jeunesse new yorkaise est un des rares points communs qu’elle partage avec Damian. Prête à tout pour finir à ses fins, elle a tout envisagé pour s’enrichir. Sauf peut-être… mère porteuse ? -> Outre le prestige de l’Elite qui l’attire comme une luciole par de la lumière, la jeune femme espère retrouver les doux chemins des boutiques de la 5th Avenue car sa mère a réussi à lui interdire l’entrée de certaines, espérant que sa fille se calmerait dans sa folie acheteuse. Que nenni. Sinon dans un registre un peu moins matériel, elle souhaite que son demi-frère par alliance souffre autant qu’elle souffre de le désirer. Alors s’il tombait amoureux, ça serait la cerise sur le gâteau…

• BIOGRAPHIE DU SUSPECT

Histoire :

De sa naissance à aujourd'hui racontez nous le parcours de votre personnage (10 lignes grand minimum)

Evènement marquant :

Relatez nous un évènement marquant dans la vie de votre personnage (3 lignes minimum)

• JUSTE ENTRE NOUS

Vous croyez-vous bon ?

Oulà, si j'me crois bonne ? Wui et toi, t'es bon ? -> Nah j'me crois pas bonne. J'me mettrais dans la fourchette entre minable et mouais tu gères d'la fougère donc euh... 13, 47 ? ->

Votre avis sur cette salle d'interrogatoire ?

Ma foi c'est coquet pour une salle d'interrogatoire, ça manque d'un jeu d'menottes mais j'amène les miennes (a)

Comment en êtes-vous arrivé à vous trouver ici ?

Hum. Alors Heily R. Pearl m'a forcé la main ^^ Elle m'a dit "tu viendraaaaas sur IHTBY?" avec des ptits yeux de chiens battus

Pensez vous nous rendre visite assez souvent ?

Possibilité illimitée donc j'pense passer assez souvent xD *mode incruste forever*

Mais qui vous couvre ?

Euhm. Keira Knightley, elle-même pas très couverte (a) xD

Ah et n'oubliez pas la clef si vous voulez sortir de votre cellule :

Spoiler:

Il faudrait penser à terminer la fiche.